Et si on rentrait un peu dans le concret...
Ah la belle fumée que l'on nous produit... Les tours de passe-passe que l'on nous présente... Nous avons droit à de grands illusionnistes qui attirent notre attention sur les moindres dossiers qui permettront d'oublier les vrais dossiers. Notre pays serait-il géré par des communicants...?
Niveau de chômage record, augmentation de 10 milliards des impôts, taxes et cotisations versées en 2013 par les ménages et les entreprises, suppression des heures supplémentaires défiscalisées, augmentation de la TVA en 2014 sans principe de vases communicants vers les charges patronales et salariales, augmentation des charges de notre Etat, augmentation du coût des mutuelles, augmentation des énergies, baisse record du pouvoir d'achat etc...
Ces éléments font le bonheur des extrémistes, des "antis tout", nos concitoyens en ont ras le bol de payer. Il sont affligés du cirque politique actuel : qu'ont-ils à faire de ce que possèdent leurs ministres ? Il s'agit de déclaratif : aucun contrôle du caractère exhaustif de ces déclarations, ni de leur véracité !
Notre système de répartition (retraite, sécurité sociale, chômage) est au bord de la rupture : en ces temps de crise nos concitoyens, sous une pression fiscale sans égale dans notre histoire, ont beaucoup moins de compréhension pour notre système qui pourtant a prouvé son efficacité et son utilité...
Nous sommes très heureux de savoir maintenant que notre chef de l'Etat est satisfait de son gouvernement et de son premier Ministre ? En cette période de réforme des retraites (à nouveau...), je propose que l'on supprime ce pluriel qui est de trop, que l'on envisage la réforme de LA Retraite... pour toutes et tous.
Au nom du principe d'égalité inscrit aux frontons de nos Mairies, mettons tous les citoyens sur un pied d'égalité, cotisants tous le même pourcentage, pour la même durée (quel que soit l'âge de début et l'âge de départ), avec une gestion par une seule et même caisse de retraite : permettant ainsi de conserver les avantages liés au nombre d'enfants dans une famille et de mettre en place la notion de pénibilité... reste à en déterminer les critères...