L’Aire de jeu de la ZAC de Périaz
Alors que dans le cadre des dernières élections municipales, nous avions dénoncé le peu d’espaces verts sur le quartier de Malaz / Périaz (i.e. rien à voir avec les 30% d’espaces verts que M. Max DECARRE avait réussi à préserver sur le quartier de ChampFleuri), nous avions avancé le fait que l’on ne pouvait même pas y installer une aire de jeu pour enfant.
Autant pour nous… autant pour moi…
La Municipalité a bien installé une aire de jeu pour ce nouveau quartier… au sein du Parc de la Maison de Malaz !!!
Ce Parc est depuis longtemps un élément important de l’Histoire de notre commune : cette demeure bourgeoise anciennement nommée la « Villa des Roses » a été réalisée entre 1850 et 1900. Longtemps inhabitée, elle a été rachetée par la commune vers la fin du 20ème siècle.
Plusieurs travaux ont permis de mettre en valeur le bâti et le Parc qui abrite des arbres magnifiques.
Très apprécié de nos concitoyens, le parc est un lieu de promenade familiale, de pratique sportive (Taï Chi, Qi Gong...) et d’organisation de fêtes privées ou associatives.
J’imagine que l’on a dû se torturer les méninges pour trouver une solution…
On n’a pas hésité à amputer le parc de plusieurs dizaines de m² de verdure… pour une réalisation qui est plutôt réussie. On va me dire que l’emplacement était très peu utilisé, qu’il reste de la place… oui effectivement… on a surtout franchi le Rubicon.
Plus rien n’empêche aujourd’hui de reprendre d’autres « petits bouts » pour réaliser tel ou tel aménagement : un skate parc par exemple, que l’on supprimera ou déplacera à la première occasion...
On ne respecte plus rien.
Nonobstant cet état de fait, il ne demeure pas moins qu’il n’y avait pas la place (…), pas la possibilité (la Mairie a perdu la maîtrise du foncier lorsqu’elle a confié l’ensemble de cette surface à un seul aménageur privé, peu accommodant), de réaliser une aire de jeu « dans » le quartier de la ZAC de Périaz.
Commentaires
J'ai écrit à la Mairie signalant qu'il n'y avait même pas un banc pour s'assoir dans ce parc,
Il m'a été répondu qu'on y réfléchissait ...